Notre nouveau coach s’est exprimé sur son état d’esprit de retrouver un club après plus d’un an sans entraîner et les raisons de son choix de rejoindre notre club :

« Villefranche m’a donné le sentiment d’avoir les éléments nécessaires pour bien travailler. Connaissant le club, ses valeurs, le bon contact avec le président et son envie de me faire venir, ça rassemblait beaucoup de choses importantes. Et puis j’ai l’impression de retrouver quelque part le FC Bourg-Péronnas que j’ai connu en National, où j’ai passé mes meilleures années. Je n’ai pas beaucoup hésité. »

« Il n’y a pas de révolution à faire. »

Ce sont les mots employés par Hervé Della Maggiore qui veut s’inscrire dans la continuité du club. Il a ensuite parlé du groupe avec lequel il allait travailler au sein de notre club :

« Je ne suis pas là pour opérer une révolution. J’arrive dans un cadre de continuité par rapport à ce qui a été entrepris avec Alain Pochat. C’est justement la différence entre mon arrivée au Gazelec et mon arrivée à Villefranche, le groupe me correspond beaucoup plus qu’au Gazelec, je suis plus dans la continuité à amener ma patte. Je dirais que le groupe me plaît, je ne vais pas citer de noms de joueurs. Aujourd’hui je mise beaucoup sur le collectif. »

Enfin, il s’est exprimé sur le classement actuel de notre club en parlant d’un championnat homogène et sur le prochain match de notre équipe qui se déroule ce vendredi sur la pelouse du leader, le SC Bastia :

« Le constat, c’est un championnat homogène. Tout le monde peut battre tout le monde. Il faut être vigilent à ne pas regarder le classement mais les écarts de points car c’est très serré. Mon objectif n’est pas de casser la dynamique actuelle. On sait qu’on va chez le leader et que se sera compliqué mais on doit avoir de l’ambition sur ce match vu ce que l’équipe a montré à Quevilly-Rouen »

Les mots du président, Philippe Terrier, concernant l’arrivée d’Hervé Della Maggiore :

« Pourquoi Hervé Della Maggiore ? Tout d’abord pour le parcours d’Hervé, Bourg venait de CFA 2 et Hervé les a fait monter en National 1 puis en Ligue 2. De plus, c’est un personnage de la région. Je voulais un entraineur régional ayant les valeurs du club. J’avais eu un premier contact quand Alain Pochat avait failli partir en Angleterre mais Hervé avait refusé à cause de sa période compliquée à Ajaccio. Il avait besoin de repos. A ce moment-là, il y avait vraiment eu un échange sympathique et je l’ai toujours gardé dans un petit coin de ma tête. »